#Recruteur
10/4/2023
4 min
Vous souhaitez recruter des profils tech, mais leurs CV vous paraissent parfois difficilement intelligibles ? C’est tout à fait normal : ce sont des candidats spécifiques, qui ont une culture technique propre, et utilisent un vocabulaire d’initiés.
S’il ne vous est bien sûr pas demandé d’être un expert technique, savoir décrypter la langue des candidats tech peut vous être très utile en tant que recruteur. Cela vous permet de mieux comprendre les attentes, mais aussi d’être crédible.
On vous donne ici les clés pour apprendre le langage tech, ainsi qu’un glossaire des termes techniques principaux à connaître.
Le marché du recrutement tech en France est en forte tension. On parle même de marché inversé : ce sont les recruteurs qui démarchent directement les candidats, tant les offres d’emploi sont nombreuses pour peu de demandes.
La direction de l'Animation de la recherche, des Études et des Statistiques note d’ailleurs dans une étude de 2022 qu’entre 2019 et 2030, le métier en plus forte expansion est celui d’ingénieur en informatique.
La concurrence entre recruteurs est donc accrue, car chaque entreprise souhaite trouver les bons profils pour son système IT. Il faut rapidement attirer l’œil des meilleurs candidats, car tous n’ont pas les mêmes compétences.
Bien connaître les profils tech devient donc un argument de vente pour les recruteurs, qui leur permet d’être plus pertinents et crédibles auprès des candidats. Ces derniers reçoivent de nombreuses offres qui sont rarement pertinentes, et sont ravis de dialoguer avec un employeur qui connaît un peu le secteur.
Parler le langage tech peut également vous aider dans l’élaboration des fiches de postes. En effet, il est important de savoir transcrire vos besoins en métier, pour lancer des recherches ciblées de candidats.
Par ailleurs, si on vous transmet les fiches de postes directement, vous devez être capable d’en comprendre le contenu. Connaître les termes tech et avoir un peu de culture IT vous permet d’identifier rapidement les mots clés à rechercher pour trouver le bon candidat sur les plateformes d’emploi.
Enfin, le monde de la tech est assez spécifique, puisque les compétences des candidats se mesurent surtout par les projets qu’ils ont réalisés. Pouvoir identifier les profils tech pertinents à travers leurs précédentes réalisations est donc important !
Revenons-en aux CV. Ces derniers incluent la liste de connaissances des candidats, qu’il faut savoir décrypter. Ces types de profil ont de nombreux hard skills, comme la maîtrise de langages informatiques. Savoir de quoi il s’agit, et à quoi ces derniers servent, c’est donc toujours utile.
Les candidats tech ont également des soft skills spécifiques nécessaires pour mener à bien leurs missions. À vous de les discerner, à travers notamment la dénomination des postes et des projets antérieurs d’un candidat tech dans son CV.
Ainsi, parler le langage tech est utile pour vos recrutements. C’est mieux savoir évaluer les candidats pendant un entretien, déceler leurs compétences et savoir lesquelles prioriser. Bref, c’est comprendre si le profil répond vraiment à vos besoins.
Maîtriser le langage tech appliqué au recrutement, ça peut s’apprendre tout seul. Pour mieux comprendre vos candidats, il vous faut notamment :
Et ça tombe bien, un des principes fondamentaux de la tech, c’est l’accès à l’information sur Internet. Vous pouvez y trouver articles et vidéos sur n’importe quel sujet, surtout si vous faites vos recherches en anglais.
Cependant, apprendre seul à très vite des limites. Cela peut prendre beaucoup de temps, et on est rapidement perdu au milieu de la masse d’informations disponibles sans savoir par où commencer.
C’est la raison pour laquelle les formations de recrutement tech sont aussi pertinentes. En effet, elles peuvent vous aider à identifier les éléments à connaître, pour attirer, évaluer et convaincre vos candidats.
Dans le cadre d’une formation, vous êtes guidé et l’apprentissage est optimisé. Vous pouvez également échanger avec des experts tech, ce qui vous permet de bien comprendre les profils et le fonctionnement de vos candidats. Ces formations sont aussi un cadre pour vos futures recherches d’informations sur Internet.
Pour vous aider à maîtriser cette culture IT, ses codes et son vocabulaire, Bluecoders propose justement des formations spécifiques pour les recruteurs tech. Selon vos besoins, vous retrouvez différents modules de 2 ou 5 jours en présentiel pour le parcours complet pour vous apporter des compétences à chaque étape du recrutement.
Pour maîtriser le langage tech, l’important est surtout de pratiquer. Mener des entretiens, vous renseigner (et c’est justement ce que vous êtes en train de faire !), c’est autant de clés acquises. Discuter, rencontrer et parler avec votre équipe tech directement est aussi très utile.
Concernant le vocabulaire, vous apprendrez au fil du temps les termes les plus utilisés au sein de votre industrie. Grâce à votre expérience, vous saurez de mieux en mieux déceler le potentiel d’un candidat, et cerner s’il est un bon fit pour vous.
Enfin, nous vous invitons également à pratiquer en vous tenant au courant des évolutions du secteur. L’innovation et le changement sont en effet au cœur du fonctionnement tech !
Nous vous proposons une liste non exhaustive de 20 mots importants classés par ordre alphabétique, qui reviennent souvent et se prêtent à de nombreuses situations.
Si vous vous interrogez sur d’autres mots, consultez notre glossaire de la tech.
Un algorithme est une procédure à suivre. Il prend un ou plusieurs éléments en entrée (input), lui applique des opérations spécifiques, et produit une sortie (output).
Par exemple, « ajouter 3 au chiffre en entrée » est un algorithme.
Attention, cela ne doit pas être confondu avec le code, qui est l’écriture concrète d’un algorithme dans un langage !
Une API, Application Programming Interface ou Interface de Programmation, est un espace où l’on peut demander des informations sur un logiciel ou une application. C’est le lieu où le « client » pose les questions pour obtenir des informations sur le « serveur ».
Le gouvernement français propose par exemple plusieurs API, qui permettent d’obtenir des informations sur ses serveurs.
Le Backend, ou arrière-plan, désigne une application du côté du serveur. Concrètement, c’est le code en fond qui fait fonctionner un site, dialogue avec les bases de données, mais qui n’est pas visible. Un développeur Backend est spécialisé dans ce type d’opérations.
Par exemple, pour un site d’e-commerce, lorsque quelqu’un s’inscrit, le Backend est la partie de code qui récupère les informations et les stocke.
Une base de données est un groupe d’informations, collectées et stockées au même endroit. C’est un grand tableau avec des milliers de lignes.
Par exemple, une base de données clients serait un tableau, dont chaque ligne représente une personne et chaque colonne une information : nom, email, âge, etc.
Le Big data se rapporte au fort volume de données aujourd’hui accessibles. Leur analyse permet d’extraire des informations utiles pour améliorer ses performances. Le Big data est associé à des méthodes technologiques spécifiques associées pour réussir à traiter et stocker un si grand nombre de données.
La blockchain est une technologie permettant de stocker des informations en sécurité, sans possibilité de les modifier.
Concrètement, elle fonctionne avec une chaîne de boîtes. Chaque boîte contient :
Si un hacker modifie les informations dans une boîte, son hash change. La boîte contient l’ancien hash de la boîte modifiée, et prouve donc qu’il y a un problème.
Le code source est la transcription en format texte dans un langage compréhensible par l’homme d’un programme, c’est-à-dire d’une liste d’instructions.
Pour voir à quoi cela ressemble, nous vous invitons à faire tout de suite Ctrl+U, ou Option+Commande+U.
Le DevOps, contraction de Développement et d’Opérations, désigne la collaboration entre des personnes travaillant sur des tâches différentes. De nombreuses pratiques de partage d’informations sont associées à cette culture, qui permet d’être plus efficace.
Le Frontend désigne l’application de premier plan. Concrètement, c’est lui qui régit tout ce qui est visible par l’utilisateur (boutons, etc.). Les développeurs Frontend sont spécialisés dans ce type d’opérations ; parmi eux, on distingue développeurs UI et développeurs UX.
Par exemple, pour un site d’e-commerce, lorsque quelqu’un s’inscrit, le Frontend est la partie de code qui propose de jolies cases pour écrire son mail ainsi que le bouton « s’inscrire ».
Un développeur Full Stack est capable de réaliser des opérations Backend et Frontend.
Une library est une collection de ressources utilisables. Dans un code, on peut appeler une library et y piocher des éléments, comme des instructions déjà écrites par exemple.
Le Machine Learning (ML) est une forme d’intelligence artificielle qui apprend en fonction de ses performances. On donne une tâche à une machine, ainsi qu’une mesure de son score à cette tâche. La machine est programmée pour « vouloir » améliorer son score : elle apprend et modifie ses réponses pour augmenter ses performances.
Un logiciel est open source lorsque l’on peut accéder à et utiliser son code source librement.
Une requête est une question, ou query, que l’on pose grâce à un code à une base de données, pour obtenir une information sur ce qu’elle contient.
Par exemple, si vous avez une base de données de clients, « donne-moi les clients de plus de 50 ans » pourrait être une requête.
Le SaaS, ou Software as a Service, un mode d’accès spécifique à un logiciel. Au lieu de télécharger sur son ordinateur un logiciel, ce dernier est installé par l’entreprise sur un serveur. Vous pouvez ensuite accéder à ce service en ligne sans le télécharger – c’est le cas des boîtes mail, par exemple.
Un serveur est un appareil physique connecté à Internet ou à un Intranet, qui propose des services à un client, en répondant à ses requêtes.
Un Sprint est une méthode de travail, qui consiste à ce que toutes les personnes et ressources disponibles soient concentrées sur un même projet pendant un court laps de temps.
Le ticketing est une méthode de travail fonctionnant via des tickets. Lorsqu’il y a un problème à résoudre, on l’inscrit dans un ticket auquel on donne un ordre de priorité. Le service à qui s’adresse les tickets possède la liste de ces tickets : il ouvre le plus urgent, le résout et le ferme.
L’UI, ou User Interface design, désigne ce qui relève du visuel d’une plateforme. L’objectif pour un UI designer, c’est de créer un logiciel ou un site web esthétique et agréable visuellement pour l’utilisateur.
L’UX, ou User experience design, désigne ce qui relève du parcours de l’utilisateur d’une plateforme. L’objectif pour un UX designer, c’est de créer un logiciel ou site web intuitif et facilement utilisable.
Et voilà, vous voici familiarisé avec le vocabulaire tech, et c’est ce qui peut faire toute la différence !
Cette liste est bien sûr non exhaustive, il existe de nombreux autres mots et connaissances sur le sujet. Le secteur évolue très rapidement, restez donc proactif pour continuer à être le meilleur recruteur tech et montrer aux candidats que vous les comprenez.
Pour vous aider, vous pouvez rejoindre une des formations Bluecoders spécifiquement conçues à cet effet.
10/4/2023
Vous souhaitez recruter des profils tech, mais leurs CV vous paraissent parfois difficilement intelligibles ? C’est tout à fait normal : ce sont des candidats spécifiques, qui ont une culture technique propre, et utilisent un vocabulaire d’initiés.
S’il ne vous est bien sûr pas demandé d’être un expert technique, savoir décrypter la langue des candidats tech peut vous être très utile en tant que recruteur. Cela vous permet de mieux comprendre les attentes, mais aussi d’être crédible.
On vous donne ici les clés pour apprendre le langage tech, ainsi qu’un glossaire des termes techniques principaux à connaître.
Le marché du recrutement tech en France est en forte tension. On parle même de marché inversé : ce sont les recruteurs qui démarchent directement les candidats, tant les offres d’emploi sont nombreuses pour peu de demandes.
La direction de l'Animation de la recherche, des Études et des Statistiques note d’ailleurs dans une étude de 2022 qu’entre 2019 et 2030, le métier en plus forte expansion est celui d’ingénieur en informatique.
La concurrence entre recruteurs est donc accrue, car chaque entreprise souhaite trouver les bons profils pour son système IT. Il faut rapidement attirer l’œil des meilleurs candidats, car tous n’ont pas les mêmes compétences.
Bien connaître les profils tech devient donc un argument de vente pour les recruteurs, qui leur permet d’être plus pertinents et crédibles auprès des candidats. Ces derniers reçoivent de nombreuses offres qui sont rarement pertinentes, et sont ravis de dialoguer avec un employeur qui connaît un peu le secteur.
Parler le langage tech peut également vous aider dans l’élaboration des fiches de postes. En effet, il est important de savoir transcrire vos besoins en métier, pour lancer des recherches ciblées de candidats.
Par ailleurs, si on vous transmet les fiches de postes directement, vous devez être capable d’en comprendre le contenu. Connaître les termes tech et avoir un peu de culture IT vous permet d’identifier rapidement les mots clés à rechercher pour trouver le bon candidat sur les plateformes d’emploi.
Enfin, le monde de la tech est assez spécifique, puisque les compétences des candidats se mesurent surtout par les projets qu’ils ont réalisés. Pouvoir identifier les profils tech pertinents à travers leurs précédentes réalisations est donc important !
Revenons-en aux CV. Ces derniers incluent la liste de connaissances des candidats, qu’il faut savoir décrypter. Ces types de profil ont de nombreux hard skills, comme la maîtrise de langages informatiques. Savoir de quoi il s’agit, et à quoi ces derniers servent, c’est donc toujours utile.
Les candidats tech ont également des soft skills spécifiques nécessaires pour mener à bien leurs missions. À vous de les discerner, à travers notamment la dénomination des postes et des projets antérieurs d’un candidat tech dans son CV.
Ainsi, parler le langage tech est utile pour vos recrutements. C’est mieux savoir évaluer les candidats pendant un entretien, déceler leurs compétences et savoir lesquelles prioriser. Bref, c’est comprendre si le profil répond vraiment à vos besoins.
Maîtriser le langage tech appliqué au recrutement, ça peut s’apprendre tout seul. Pour mieux comprendre vos candidats, il vous faut notamment :
Et ça tombe bien, un des principes fondamentaux de la tech, c’est l’accès à l’information sur Internet. Vous pouvez y trouver articles et vidéos sur n’importe quel sujet, surtout si vous faites vos recherches en anglais.
Cependant, apprendre seul à très vite des limites. Cela peut prendre beaucoup de temps, et on est rapidement perdu au milieu de la masse d’informations disponibles sans savoir par où commencer.
C’est la raison pour laquelle les formations de recrutement tech sont aussi pertinentes. En effet, elles peuvent vous aider à identifier les éléments à connaître, pour attirer, évaluer et convaincre vos candidats.
Dans le cadre d’une formation, vous êtes guidé et l’apprentissage est optimisé. Vous pouvez également échanger avec des experts tech, ce qui vous permet de bien comprendre les profils et le fonctionnement de vos candidats. Ces formations sont aussi un cadre pour vos futures recherches d’informations sur Internet.
Pour vous aider à maîtriser cette culture IT, ses codes et son vocabulaire, Bluecoders propose justement des formations spécifiques pour les recruteurs tech. Selon vos besoins, vous retrouvez différents modules de 2 ou 5 jours en présentiel pour le parcours complet pour vous apporter des compétences à chaque étape du recrutement.
Pour maîtriser le langage tech, l’important est surtout de pratiquer. Mener des entretiens, vous renseigner (et c’est justement ce que vous êtes en train de faire !), c’est autant de clés acquises. Discuter, rencontrer et parler avec votre équipe tech directement est aussi très utile.
Concernant le vocabulaire, vous apprendrez au fil du temps les termes les plus utilisés au sein de votre industrie. Grâce à votre expérience, vous saurez de mieux en mieux déceler le potentiel d’un candidat, et cerner s’il est un bon fit pour vous.
Enfin, nous vous invitons également à pratiquer en vous tenant au courant des évolutions du secteur. L’innovation et le changement sont en effet au cœur du fonctionnement tech !
Nous vous proposons une liste non exhaustive de 20 mots importants classés par ordre alphabétique, qui reviennent souvent et se prêtent à de nombreuses situations.
Si vous vous interrogez sur d’autres mots, consultez notre glossaire de la tech.
Un algorithme est une procédure à suivre. Il prend un ou plusieurs éléments en entrée (input), lui applique des opérations spécifiques, et produit une sortie (output).
Par exemple, « ajouter 3 au chiffre en entrée » est un algorithme.
Attention, cela ne doit pas être confondu avec le code, qui est l’écriture concrète d’un algorithme dans un langage !
Une API, Application Programming Interface ou Interface de Programmation, est un espace où l’on peut demander des informations sur un logiciel ou une application. C’est le lieu où le « client » pose les questions pour obtenir des informations sur le « serveur ».
Le gouvernement français propose par exemple plusieurs API, qui permettent d’obtenir des informations sur ses serveurs.
Le Backend, ou arrière-plan, désigne une application du côté du serveur. Concrètement, c’est le code en fond qui fait fonctionner un site, dialogue avec les bases de données, mais qui n’est pas visible. Un développeur Backend est spécialisé dans ce type d’opérations.
Par exemple, pour un site d’e-commerce, lorsque quelqu’un s’inscrit, le Backend est la partie de code qui récupère les informations et les stocke.
Une base de données est un groupe d’informations, collectées et stockées au même endroit. C’est un grand tableau avec des milliers de lignes.
Par exemple, une base de données clients serait un tableau, dont chaque ligne représente une personne et chaque colonne une information : nom, email, âge, etc.
Le Big data se rapporte au fort volume de données aujourd’hui accessibles. Leur analyse permet d’extraire des informations utiles pour améliorer ses performances. Le Big data est associé à des méthodes technologiques spécifiques associées pour réussir à traiter et stocker un si grand nombre de données.
La blockchain est une technologie permettant de stocker des informations en sécurité, sans possibilité de les modifier.
Concrètement, elle fonctionne avec une chaîne de boîtes. Chaque boîte contient :
Si un hacker modifie les informations dans une boîte, son hash change. La boîte contient l’ancien hash de la boîte modifiée, et prouve donc qu’il y a un problème.
Le code source est la transcription en format texte dans un langage compréhensible par l’homme d’un programme, c’est-à-dire d’une liste d’instructions.
Pour voir à quoi cela ressemble, nous vous invitons à faire tout de suite Ctrl+U, ou Option+Commande+U.
Le DevOps, contraction de Développement et d’Opérations, désigne la collaboration entre des personnes travaillant sur des tâches différentes. De nombreuses pratiques de partage d’informations sont associées à cette culture, qui permet d’être plus efficace.
Le Frontend désigne l’application de premier plan. Concrètement, c’est lui qui régit tout ce qui est visible par l’utilisateur (boutons, etc.). Les développeurs Frontend sont spécialisés dans ce type d’opérations ; parmi eux, on distingue développeurs UI et développeurs UX.
Par exemple, pour un site d’e-commerce, lorsque quelqu’un s’inscrit, le Frontend est la partie de code qui propose de jolies cases pour écrire son mail ainsi que le bouton « s’inscrire ».
Un développeur Full Stack est capable de réaliser des opérations Backend et Frontend.
Une library est une collection de ressources utilisables. Dans un code, on peut appeler une library et y piocher des éléments, comme des instructions déjà écrites par exemple.
Le Machine Learning (ML) est une forme d’intelligence artificielle qui apprend en fonction de ses performances. On donne une tâche à une machine, ainsi qu’une mesure de son score à cette tâche. La machine est programmée pour « vouloir » améliorer son score : elle apprend et modifie ses réponses pour augmenter ses performances.
Un logiciel est open source lorsque l’on peut accéder à et utiliser son code source librement.
Une requête est une question, ou query, que l’on pose grâce à un code à une base de données, pour obtenir une information sur ce qu’elle contient.
Par exemple, si vous avez une base de données de clients, « donne-moi les clients de plus de 50 ans » pourrait être une requête.
Le SaaS, ou Software as a Service, un mode d’accès spécifique à un logiciel. Au lieu de télécharger sur son ordinateur un logiciel, ce dernier est installé par l’entreprise sur un serveur. Vous pouvez ensuite accéder à ce service en ligne sans le télécharger – c’est le cas des boîtes mail, par exemple.
Un serveur est un appareil physique connecté à Internet ou à un Intranet, qui propose des services à un client, en répondant à ses requêtes.
Un Sprint est une méthode de travail, qui consiste à ce que toutes les personnes et ressources disponibles soient concentrées sur un même projet pendant un court laps de temps.
Le ticketing est une méthode de travail fonctionnant via des tickets. Lorsqu’il y a un problème à résoudre, on l’inscrit dans un ticket auquel on donne un ordre de priorité. Le service à qui s’adresse les tickets possède la liste de ces tickets : il ouvre le plus urgent, le résout et le ferme.
L’UI, ou User Interface design, désigne ce qui relève du visuel d’une plateforme. L’objectif pour un UI designer, c’est de créer un logiciel ou un site web esthétique et agréable visuellement pour l’utilisateur.
L’UX, ou User experience design, désigne ce qui relève du parcours de l’utilisateur d’une plateforme. L’objectif pour un UX designer, c’est de créer un logiciel ou site web intuitif et facilement utilisable.
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